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 Histoires (je sais c'est long...zavez ka imprimer)

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MoonLightFears
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MoonLightFears


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MessageSujet: Histoires (je sais c'est long...zavez ka imprimer)   Histoires (je sais c'est long...zavez ka imprimer) EmptySam 12 Mar - 20:26

Je m’appelle Raphaëlle, je vais vous révéler une histoire qui m’est arrivée et que l’on pourrait qualifier d’étrange.
Cela se passait en début d’hiver. Je rentrais de chez mon amie Ally en empruntant un raccourcie que je n’avais jamais pris auparavant : il menait au cimetière. Le soleil se couchait à peine diffusant sa teinture orangée sur les villas aux jardins florissants ainsi que sur les cyprès verdoyants. On aurait dit que la ville tout entière s’embrasait. Une faible brise commençait à se lever rafraîchissant l’air du soir. Avançant lentement sur le trottoir, ne pensant à rien je me rendis compte que je me trouvais devant la grille du cimetière.
Un frisson me parcouru l’échine me faisant dresser les cheveux sur la nuque. Le chant du vent qui courrait dans mes cheveux me faisait étrangement penser à des pleurs et des lamentations de personnes en grande détresse. Je ne bougeais plus, j’écoutais attentivement. Je frissonnais, à présent les plaintes s’étaient transformées en hurlements ; toutes ces personnes criaient mon nom dans le vent me suppliant de leur venir en aide. Un violent tremblement me prit au creux de la poitrine. Je ne me contrôlais plus. Les secousses se faisaient de plus en plus violentes. Je m’effondrais sur l’asphalte. Cela commençait à me faire effroyablement souffrir. Une souffrance inconnue me pris les entrailles et je me mis à hurler, à implorer et même à prier un dieu en qui jusque là je n’avais jamais cru.
La douleur disparue aussi vite qu’un battement de cils. Pourtant je restais étendue là gisant comme une loque, comme une poupée de chiffon jetée par une petite fille qui aurai fait un caprice et que l’on n’aurai jamais ramassé. J’étais à demi consciente, étendue dans la poussière, vide de toute force et de toutes idées. Personne pour m’aider. Une épaisse brume me faisait comater. Petit à petit mes idées revinrent à la normale et je pue enfin me relever.
J’avais bel et bien recouvré mes esprits mais je ne me sentais pas comme d'habitude. Quelque chose en moi avait changé mais j’aurai été incapable d’expliquer quoi.
Je m’empressais de rentrer chez moi, pour retrouver mes marques et me sentir enfin bien et alaise.
Quand j’arrivai mes parents étaient déjà à table et commençaient le plat de résistance. Mon assiette était posée à sa place habituelle et une fois que j’étais installée devant celle-ci mes parents s’écrièrent : « Mais où étais-tu ?? Nous nous sommes fait un sang d’encre »
Et en voyant à mon faciès que quelque chose n’allait pas ils se turent. Ma mère se leva hâtivement posa sa main sur mon front pour voir si je n’avais pas de température. Ensuite elle regarda mes yeux et poussa une forte exclamation « Mon Dieu ! Tes yeux ! Qu’est-ce que tu as fais ? »
J’avais beau leur expliquer ce qui m’était arrivé mais ils ne voulaient rien entendre. Mon père se jeta sur le combiné du téléphone et appela le médecin pour prendre un rendez-vous le plus tôt possible « demain de préférence » avait-il dit. Finalement je me levais de table et partie me coucher.
Au moment de me démaquiller, je constatais qu’effectivement, le blanc de mes yeux était assez rouge comme si je ne m’étais contenue de pleurer une journée entière. Mais le sommeil chassa cette pensée de ma tête et je pus dormir posément.
Le lendemain matin ma mère vint me réveiller vers huit heures pour ma consultation avec l’oculiste. Nous prîmes la voiture de mon père et roulâmes en direction du centre ville.
Il y avait environs une bonne demi-heure de route.
Une fois arrivées une secrétaire nous dit de nous installer dans la salle d’attente et que le docteur n’allait pas tarder. Dans la petite pièce une légère musique d’ambiance se diffusait et percutait les murs blancs et propres de la salle. Cela sentait la naphtaline et l’alcool à brûler qui avait apparemment servit à nettoyer les vitres qui étaient étincelantes. Les rayons du soleil qui passaient par celles-ci me blessaient les yeux déjà meurtris par la veille. Au bout de quelques minutes l’oculiste vint enfin et nous amena dans la salle des diagnostiques. Il me proposa de m’asseoir dans un fauteuil et de me détendre. Tout d’abord il m’examina avec une sorte de petite lampe de poche, ensuite il me mit quelques gouttes d’un produit coloré pour voir si je n’avais pas de blessure. Il s’écarta de moi, prit une moue perplexe et se tourna vers ma mère pour lui parler.
Je ne pus comprendre ce qu’ils étaient en train de se dire mais je pus entendre certain bout de phrase comme : « Faire des analyses » ou encore « jamais vu ça ». Je commençais sérieusement à m’inquiéter. Nous pûmes enfin partir.
Le retour était si calme et si tendu que je m’en souviens encore. J’essayais de mettre un peu d’ambiance mais en vain.
A l’heure du repas on aurait juré que quelqu’un de proche venait de décéder. Je finissais finalement par demander ce que le docteur avait dit. Les cliquetis des couverts cessa et mon père regarde ma mère dans les yeux. Leur visage blêmirent et ils me répondirent par un mensonge exagéré : « Oh ! Ce n'est rien ce n’est juste qu’une petite infection. »
Mais moi je savais que ce n’était pas ça alors je me levais brusquement de table en faisant tomber ma chaise et en tempêtant que j’avais besoin de sortir.
Une fois dehors je me demandais où je pouvais bien aller. C’est alors que je me remis à penser à la crise que j’avais eue et me dis que finalement c’était au cimetière que tout avait commencé.
Alors je pris le chemin qui y menait et marchais pendant plus d’une heure sous les platanes verdoyants. Le soleil commençais à me donner une sérieuse migraine. Il fallais que je m’arrête. C’est alors que je me rendis compte que je me trouvais devant la grille du cimetière et que Yannick McDowel, le capitaine de l’équipe de basket-ball de notre lycée, ainsi que ses gardes du corps s’avançaient dans ma direction.
Je voulus les esquiver mais ils m’avaient déjà encerclé. Yannick était plutôt petit mais assez musclé, il avait l’air crâneur avec ses lunettes de soleil qu’il portait même quand il faisait mauvais temps. Ses amis avaient l’air de véritables gorilles à ses côtés. Je me tournais vers la grille pour partir mais Yannick m’immobilisa entre ses bras dans l’intention de me voler l’argent de mon déjeuné. Soudainement, dans un zèle de désespoir je pris ses mains dans les miennes et serrais de toutes mes forces. Je sentais ses phalanges craquer sous ma poigne, il poussa un hurlement effroyable et me libéra de son emprise.
Je partis en courant dans le cimetière suivit de près par mes agresseurs. Je m’élançais à toute vitesse dans ce dédale de pierres tombales, je tournais à droite puis à gauche. Je les entendais derrière moi, lançant des jurons dans le vent. Une fois que je fus sûre qu’ils ne me voyaient plus je me cachais dans le caveau le plus proche.
J’attendis une bonne demi-heure pour être certaine qu’ils soient partis.
Quand je sortis enfin ce devait être le milieu de l’après midi car il faisait plus chaud que jamais.
Je me retournais pour examiner l’édifice dans lequel je venais de réfugier. Il était très ancien, ce devait être le plus ancien de tout les monument de ce cimetière. Sur la porte était dessinée une superbe rose noire plutôt estompée par le vent et les années passées. Je pénétrais à nouveau dans le caveau pour mieux constater qu’il n’était pas comme les autres. En effet ses murs intérieurs arboraient d’étranges gravures ainsi que des dessins de toutes sortes. Comme dans tout caveau il y a une tombe, mais cette stèle là, aussi était différente. Des inscriptions y étaient peintes de couleur dorée mais elles étaient illisibles.
Je finissais finalement par me demander qu’est-ce qu’il pouvait bien y avoir à l’intérieur. La curiosité éprouvée à cet instant me surprit car je n’avais jamais été aussi curieuse. Seulement ce fut plus fort que moi il fallait que je sache. Je posais mes mains sur le couvercle pour l’ouvrir sans l’espoir d’avoir un résultat car pour une jeune fille de mon age n’y serait jamais arrivé. Même trois ou quatre hommes en pleine santé auraient eu beaucoup de mal.
Mais au moment de pousser, la dalle se déplaça de quelques centimètres alors, surprise par ma force, je poussais encore de plus belle jusqu’à qu’un trou béant se laisse voir. Une effluve nauséabonde s’échappa de cette ouverture et je ne pus m’empêcher de tousser et de sortir. Si je restais plus longtemps j’allais vomir. J’attendis quelques minutes que l’odeur se dissipe et j’entrais à nouveau. Je regardais attentivement dans le trou m’attendant à y trouver un squelette mais je fus étonnée de constater que cela ouvrai sur un passage souterrain.
Je poussais un peu plus la dalle pour faire en sorte que je puisse y rentrer.
Au fur et à mesure que je descendais les veilles marches de pierre les ténèbres s’épaississaient jusqu’à ce que je dus me coller aux parois froides et humides de ce passage. Après quelques minutes de marche j’arrivais dans une immense salle vaguement éclairée par quelques bougies. La moindre de mes respirations résonnait de façon presque surréaliste. Je reconnaissais facilement le style gothique de l’architecture des voûtes et cela permit de me rendre compte que cette crypte fut crée vers la renaissance. Quatre cercueils étaient alignés sur le sol. Je voulus m’avancer d’avantage mais quelqu’un posa sa main sur mon épaule. En un geste éclair je prenais son bras et le fis passer par-dessus moi. Une fraction de seconde plus tard un homme assez âgé se tenait, étendu sur le sol, devant moi. Il portait de vieux vêtements et avait une barbe assez touffue. C’était un homme massif mais vieilli par les années de travail passées.
Je me sentais extrêmement navré pour cette personne. Elle était particulièrement sonnée. Quand il eut repris ces esprits je l’aidais à ce relever et ne pouvais que m’excuser :
« Désolée ! Je suis vraiment désolée ! je ne voulais pas… je ne pensais pas que…
- ça va, ça va, je n’ai rien. Mais où avez-vous apprit cela mademoiselle ?
C’est la première fois que je vois quelqu’un se défendre de la sorte.
- je ne sais pas comment j’ai fait ; avouais-je. Mais qui êtes vous ?
- je vous retourne la question.
- oh ! Je m’appelle Raphaëlle Wilson et vous qui êtes-vous ?
- je suis le gardien de ce cimetière. Mais que faites-vous ici ?
- je me promenais et j’ai trouvé ce passage.
- qui vous a aidé à pousser la dalle ? J’aimerai bien savoir.
- et bien à vrai dire, je l’ai ouverte toute seule. Pardonnez-moi mais il faut que je rentre chez moi sinon mes parents vont s’inquiéter. Au revoir. » Mentis-je.
Et je partis en toute hâte pour ne pas avoir à fournir d’autres explications que je n’avais pas.
Je marchais lentement, tranquillement pour pouvoir repenser à ce qu’il venait de se passer ; je ne comprenais rien j’avais beau essayer, je ne voyais pas ce qu’il pouvait m’arriver, bien que tous les incidents précédents furent très étranges.
Au bout d’une grosse heure j’arrivais enfin chez moi. Mon père était parti travailler mais ma mère avait un jour de repos ce qui lui permettait de rester à la maison avec moi.
Mais je restais enfermée dans ma chambre à réfléchir jusqu’à ce que ma mère vienne me voir et me dise :
« Prépare-toi, on va au restaurant.
- et papa ?
- il joue au poker avec ses amis. On sera toutes les deux en tête-à-tête.
- super… »
Une heure et demis après nous nous sommes retrouvées dans la voiture en direction du centre ville. De là où nous habitions, il fallais environs une bonne heure de route.
Le trajet fut lent et guère animé. Mis à part les questions incessantes de ma mère et qui ont pour sujet le plus désespérant thème qui puisse exister pour une fille de mon age : l’adolescence.
Tous les adolescents savent ce qu’il faut savoir sur cette période de la vie, mais bien sur, comme d’habitude, les parents croient qu’ils peuvent nous apporter quelques légèretés qui nous aurai, soi-disant, échappées.
Je ne faisais qu’entendre ses paroles sans les comprendre. Elle parlait sans cesse ne me donnant que très rarement la parole.
Au bout d’un certain temps elle me dit quelque chose qui ressemblait à ceci :
« Tu sais dans trois jours tu auras dix-hit ans, tu n’es plus un bébé, il faut apprendre à réagir comme une adulte réfléchie et mature.
- pardon ? C’est toi qui me parle de maturité et de réflexion ? , Explosais-je, non mais je rêve ? Je pense être un peu plus mature que toi car moi j’aurai la franchise de dire à ma fille les résultats du diagnostique des examens pour ces yeux. Je ne lui mentirai pas lamentablement. Alors ne me parle pas de maturité par pitié ! Je pense en avoir assez pour mon age. N’essai pas de me faire grandir avant l’age. Je ne veux pas faire comme toi et ne pas profiter de la vie.
- tu as raison je n’ai pas assez profité et je te le fais payer. Mais pense que tu ne pourra pas toujours t’amuser et il faut que tu te prépare u jour où tu entrera enfin dans la vie active.
- oui mais on y est pas encore on verra le jour venu. »
Je ne savais pourquoi mais j’avais l’étrange sensation que ce jour ne viendrai jamais et que je n’aurai jamais à travailler de même pour le jour de ma mort.
Je frémissais à l’idée de mourir de plus rien ressentir du jour au lendemain. Quelle vision atroce d’une vie quand on se dit que tout ce que l’on fait en étant vivant ne nous sert à rien car de toute façon nous mourons.
Est-ce ça la récompense de la vie : la mort ?
Je chassais rapidement cette pensée de ma tête car nous parvenions à un parking.
Ma mère avait choisi une place assez pratique car le restaurant n’était qu’à cinq cent mètres de là.
La nuit venait de tomber mais le ciel gardait quelques nuance de rouge et de pourpre en passant par vermeille et corail.
Aujourd’hui encore c’est le moment de la journée que je préfère, il est d’une rare beauté et il est à chaque fois dissemblable.
Nous marchions sereinement en direction du restaurant. Une légère rafale souleva mes longs cheveux noirs et pénétra mes vêtements comme de l’eau glacée. Je serrais mes bras contre ma poitrine et poursuivais mon chemin contre le vent.
Les talons aiguille de ma mère claquaient bruyamment sur les pavés de granit qui dallaient la sombre ruelle dans laquelle nous pénétrions.
Au bout de quelques minutes nous arrivâmes à destination. L’odeur des nems et du poulet au miel me fit oublier la quasi-totalité de mes problèmes.
Nous pénétrâmes dans un grand hall aux murs tapissés de voilages écarlates et grenat. Tandis que nous avancions sur le planché stratifié, je découvrais une tenture représentant une scène sacrificielle du temps de l’ancienne chine. A la vue de la jeune vierge sur l’autel je ne pus m’empêcher de sourire. Je ne sais pourquoi mais la vue de ce spectacle étais follement drôle. Je pensais en mon fort intérieur : « mieux valait ne pas être vierge en ce temps » et je souris de plus belle.
Nous passâmes une porte vitrée et instantanément un serveur vint saisir nos vestes pour les suspendre à un superbe porte manteaux en bambou. Ensuite il nous conduit à notre table. Je compris pourquoi il s’était empressé de nous servir : il n’y avait pratiquement personne dans la salle.
Il n’y avait qu’un couple de jeunes mariés et un jeune homme, d’à peu près mon age, qui ne cessait de m’observer...

La suite dès que je l'aurai écrite...
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MessageSujet: Re: Histoires (je sais c'est long...zavez ka imprimer)   Histoires (je sais c'est long...zavez ka imprimer) EmptyJeu 17 Mar - 19:11

Tss Tss... imagine si je mettais un début de roman à la suite du tiens... ça ferais bidon!!! aRf

VicIouS Black Melancholia, celle qui ne pardonne pas...............




















PTDRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRR lolpaf toFunNy

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MessageSujet: Re: Histoires (je sais c'est long...zavez ka imprimer)   Histoires (je sais c'est long...zavez ka imprimer) EmptySam 19 Mar - 15:52

je t'ai pas dit de pas le faire en même temps -_- langue
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MessageSujet: Re: Histoires (je sais c'est long...zavez ka imprimer)   Histoires (je sais c'est long...zavez ka imprimer) EmptySam 19 Mar - 15:54

mdr!! non, c trop long, pr les poèmes ça gène pas, mais autant séparer les histoires longues
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MessageSujet: Re: Histoires (je sais c'est long...zavez ka imprimer)   Histoires (je sais c'est long...zavez ka imprimer) EmptySam 19 Mar - 16:00

ok je ferai en sorte pour la prochaine fois
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